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Grand Ski Chambéry : le calendrier des vacances scolaires de printemps dénoncé

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La 14e édition du salon Grand Ski à Chambéry a surtout donné l'occasion aux professionnels de la montagne d'interpeller Sylvia Pinel, ministre du Commerce, de l'Artisant et du Tourisme, sur les quetsions du calendrier des vacances scolaires de printemps.

Véritable marché des sports d’hiver, organisé par Atout France, la 14e édition du salon Grand Ski à Chambéry qui s'est achevée hier, avant les éductours, a réuni 463 tour-opérateurs venus à la rencontre des 240 représentants de l’offre de l’ensemble des massifs français. Parmi les visiteurs, on notait cette année la montée en puissance des marchés émergents, avec par exemple 70 tour-opérateurs venus de Russie, soit davantage que de Français (67). Un marché global qui fonctionne plutôt bien. Avec le plus grand domaine skiable du monde, la France conserve son leadership mondial, avec près de 58 millions de journées skieurs, mais talonnée par les Etats-Unis (57 millions) et l’Autriche (54 millions). Mais, après les déclarations du ministre de l’Education Nationale du 15 janvier, c’est surtout les questions du calendrier scolaire pour les vacances de printemps qui était dans toutes les bouches.

Sylvia Pinel : "trouver un compromis"

"Le retour à des semaines pleines pour les vacances de fin d’année, annoncé par le ministre de l’Education Nationale, est insuffisant, nous souhaitons des vacances de printemps plus précoces. Car au-delà du 15 avril, psychologiquement, la neige n’a plus de sens, elle n’est plus dans les esprits", a souligné Jean Lestas, président de Domaines Skiables de France, auprès de Sylvia Pinel. Un discours appuyé autant par les représentants des professionnels que par les institutions, tels que Rhône-Alpes Tourisme, par exemple. "Nous trouverons un compromis qui corresponde à l’intérêt pédagogique des enfants et aux intérêts économiques des territoires", a répondu Sylvia Pinel, promettant qu’elle alerterait Vincent Peillon "sur l’inquiétude des professionnels de la montagne". L’enjeu est d’importance quand on sait qu'un euro d’achat de remontées mécaniques représente six euros d’autres dépenses touristiques.

Auteur

  • Jean-François Belanger
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