Le 8 septembre, Ségolène Royal a inauguré la première structure d’accompagnement de projets de création d’entreprise de la Greentech verte, un nom redondant qui désigne en fait un incubateur pour start-up spécialisées dans la création de services facilitant la transition énergétique, notamment dans les transports
Au total, 49 start-up, dont 10 pour le secteur de la mobilité durable, ont été sélectionnées pour trouver refuge dans un espace dédié au sein de l’École nationale des ponts et chaussées. Pendant 6 à 12 mois de conseils, elles bénéficieront d’aides et de services mobilisés par le réseau scientifique et technique du ministère de l’Environnement, ainsi que du programme d’investissements d’avenir.
Autopartage, vélos électriques, localisation des bus, etc., qui sont donc ces start-up Greentech verte consacrées aux transports?
En voici la liste:
OuiHop’: l’autostop connecté pour les courtes distances.
Ridygo: le covoiturage pour vos trajets quotidiens.
Velocomotion: la location de vélos en ligne en toute simplicité.
Chargemap: la carte des bornes de recharge pour voitures électriques.
Citodi: pour des livraisons plus rapides et plus propres.
Elo: la plate-forme digitale dédiée au partage de vélos électriques.
K-Ryole: la remorque électrique intelligente.
Mobi-lise: connaître et planifier les transports sur un territoire.
Mytayo: et si vous partagiez aussi les trajets vers vos événements professionnels?
Okaybus: en un clic, bougez et voyagez en bus.
Cet incubateur est le premier « d’une série qui sera installée dans les mois à venir sur tout le territoire français, en particulier dans les territoires à énergie positive pour la croissance verte », a expliqué la ministre Ségolène Royal, tandis qu’un 2e appel à concours « Initiatives Greentech verte » pour la sélection d’une cinquantaine de nouvelles start-up sera lancé d’ici la fin de l’année.