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AOM et élus: je t’aime moi non plus?

La généralisation de la compétence d’autorité organisatrice de mobilité suscite-t-elle l’appétit des élus des zones rurales? L’AdCF, l’association des intercommunalités, est partagée. « C’est trop tôt pour le dire, il faut attendre les élections municipales et intercommunales, analyse Charles-Éric Lemaignen, premier vice-président de l’AdCF. Deux thèmes électoraux émergent lors de cette campagne: transition énergétique et mobilité. En fonction de leurs sensibilités, les élus prendront la compétence transport ou de façon subsidiaire, ajoute-t-il. Dans l’Orléanais, j’ai l’exemple d’EPCI qui se montrent peu empressées. » L’analyse est plus nuancée du côté de Nicolas Portier, DG de l’association: « Tout le monde va y aller, pronostique-t-il. Il y a un intérêt à prendre cette compétence », même si elle n’apporte pas de moyens financiers spécifiques. Seule certitude: 966 intercommunalités ont jusqu’à fin 2020 pour choisir.

Quant au Gart, il compte jouer les prosélytes de la LOM, cette loi qui vise « la couverture à 100 % du territoire par une AOM », se félicite son président, Louis Nègre. Il a ainsi annoncé, le 21 janvier, qu’après l’Occitanie et le Sud, d’autres antennes régionales doivent ouvrir pour constituer « des lieux d’échange et d’écoute » sur l’articulation régions-EPCI et la LOM. Au passage, le Gart espère (re)garnir sa liste d’adhérents, puisque ces collectivités nouvellement AOM « pourraient le devenir », déclare Louis Nègre.

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  • M. F.
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