Un seul bus vous manque et tout est dépeuplé.
À Santiago du Chili, il s’agit plutôt de 1 400 véhicules. Leur disparition devait faire de la place au Transantiago, le nouveau messie des transports urbains de la capitale chilienne. Mais le lancement de ce BHNS (Bus à haut niveau de service) a plongé le réseau dans le chaos, provoquant grèves, manifestations, et quatre ministres y ont laissé leur peau.
Comme quoi, il y a bien des pays où les transports sont un véritable enjeu politique.
