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Sur le vif

– Il semble que vous ayez eu gain de cause concernant la DSP. Quelle va, selon vous, être la suite des événements?

«Cette DSP coupait l’entreprise en petits morceaux. Le dossier a été très mal monté. Il faut savoir que l’affaire n’a pas encore été jugée sur le fonds. Le tribunal administratif a annulé la DSP pour des raisons techniques. Cela clos une grave erreur de gestion de la municipalité.

Pour l’instant, les élus sont mobilisés par les élections. Mais tout ira ensuite très vite. Le second conseil communautaire de la CUM fera voter la fin de la DSP, probablement en avril. Même un changement de majorité ne modifierait pas ce calendrier. C’est irréversible.

Nous avons demandé un dédommagement pour les 46 jours de grève. Il vient d’être acté. Le contrat devait rapporter à Veolia six millions d’euros sur huit ans. Nous avons divisé ce chiffre par le nombre de salariés de la RTM, pour obtenir un montant de 235 euros comme base de négociation. Les discussions ont finalement débouché sur une prime de 150 euros par agent».

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Auteur

  • PATRICK PARRAT
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