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Magazine

Ça bouge en France

EN BREF

• Le comité régional du tourisme de Lorraine lance une nouvelle campagne de communication sur internet en créant un site événementiel sur www.visite-lorraine.com. Son but : promouvoir les courts séjours et "casser les clichés sur la région", en profitant de l’actualité touristique avec notamment la récente ouverture du Centre Pompidou Metz et de Center Parcs Domaine des Trois Forêts Moselle-Lorraine.

• L’office de tourisme de Digne-les-Bains (04) propose les Géo guides du Pays dignois, des guides numériques permettant une visite interactive du patrimoine culturel et naturel par GPS. Cinq parcours ont été mis en place dont trois itinéraires audioguidés.

• L’office de tourisme de Roissy-en-France (94) annonce deux nouveautés sur le web.

Pour la première, il s’agit d’une nouvelle application d’itinéraires afin de mieux s’orienter dans l’aéroport, l’hôtel, Paris, les salons de Villepinte ou encore les parcs d’attractions. La seconde concerne le lancement du site mobile "office de tourisme Roissy".

Nice fait son carnaval

L’office de tourisme de Nice (06) annonce la tenue de son traditionnel carnaval du 18 février au 8 mars 2011. Les défilés carnavalesques mis en valeur par les décors gigantesques de la place Masséna se composeront de 20 chars (de 8 à 20 mètres de haut) qui raconteront l’histoire du "Roi de la Méditerranée". Ces parades géantes et colorées, qui se dérouleront de jour ou de nuit, seront animées par plus de 1 000 musiciens et danseurs venus des quatre coins du monde. Le long de la Promenade des Anglais se tiendront les batailles de fleurs. Sur des chars décorés des plus belles compositions florales, des personnages vêtus de costumes extravagants lanceront au public mimosas, gerberas, lys, etc… soit entre 80 000 et 100 000 fleurs! Durant plus de quinze jours, la ville vivra au rythme de cet événement féerique. Les professionnels peuvent d’ores et déjà réserver pour leurs groupes.

Le patrimoine historique de Bayeux

Dans le Calvados, seules les villes de Honfleur et de Bayeux (14) possèdent un secteur sauvegardé qui protège et met en valeur leur patrimoine historique d’intérêt universel. Parmi les éléments les plus remarquables du secteur sauvegardé de Bayeux, la cathédrale Notre-Dame, consacrée en 1077 en présence de Guillaume le Conquérant, témoigne de la puissance de l’évêché de la ville dès le XIe siècle. La découverte des richesses du Vieux-Bayeux passe aussi par d’autres édifices de la vie épiscopale, des maisons à pans de bois, des manoirs à tours construits au lendemain de la guerre de Cent Ans, ainsi que par d’élégants hôtels particuliers des XVIIe et XVIIIe siècles. L’office de tourisme de Bayeux Intercom en dévoile toutes les attraits dans le cadre de visites guidées.

Besançon, la cité Vauban

Ville d’art et d’histoire réunissant 130 000 habitants, Besançon (25) a su harmoniser au cours des siècles une pluralité de styles architecturaux. Entourée de sept collines et sertie dans la boucle du Doubs, la ville aux pierres jaunes et bleues, respire l’élégance. Deux mille ans d’histoire s’inscrivent au fil de la principale artère de la ville où hôtels particuliers se succèdent. Les façades peu ornées offrent une juxtaposition de styles du XVIe à la fin du XVIIIe siècle. Franchir les portes conduit également à des surprises: grands escaliers extérieurs à cage ouverte associant pierre de taille et fer forgé, succession de cours et bâtiments, jardins exubérants…

Le palais Granvelle (ci-dessus), jadis résidence de Nicolas Perrenot de Granvelle, dévoile une façade renaissance. Actuel Musée du temps, il conserve en son sein, et entre autres trésors, des sceaux de Charles Quint. À proximité, Claude-Nicolas Ledoux signa son opéra-théâtre selon une conception toute nouvelle pour l’époque: la fosse à orchestre. Après une flânerie sur les quais Vauban, ne pas manquer d’arpenter le pittoresque faubourg Battant, ancien quartier des vignerons, fier de son hôtel de Champagney, perle du XVIe siècle, et de la classique église de la Madeleine. Pour les groupes, l’office de tourisme a conçu différentes visites guidées pour découvrir la cité Vauban, dont les fortifications sont inscrites au Patrimoine mondial de l’Unesco.

Parutions

Manche

Manche Tourisme vient de faire paraître sa brochure Séjours Groupes 2011. À découvrir parmi la cinquantaine de produits proposés: des prestations insolites pour une clientèle d’actifs et de l’authentique pour une clientèle plus traditionnelle. Côté nouveautés: des circuits autour des événements forts de l’année (Carnaval de Granville, fêtes de fin d’année, ainsi que des programmes pour les séminaires et incentives avec des prestations sur mesure dans des lieux atypiques du Mont-Saint-Michel à la Cité de la Mer), ainsi que des produits pour surfer sur la tendance (un séjour gourmand avec une démonstration culinaire, un séjour écotourisme avec une promenade vers le Mont-Saint-Michel à bord d’attelages…).

Chambéry

L’office de tourisme de Chambéry (73) a fait paraître sa nouvelle brochure dédiée aux groupes. La ville se positionne comme le point de départ idéal à la découvert de Savoie Mont-Blanc. Y sont proposés des visites de la capitale historique de Savoie, des séjours ainsi qu’un circuit de sept jours/six nuits.

Epernay

L’office de tourisme d’Epernay (51) met à disposition des professionnels du tourisme un document complet rassemblant l’ensemble de l’offre groupes. Au sommaire: les maisons de Champagne, les vignerons, une coopérative viticole, le petit train des vignobles, les musées, les châteaux, les hôtels, les restaurants… le tout complété par une rubrique manifestations et animations.

Château-Thierry

Il était une fois Jean de La Fontaine

Un oppidum celte dominant la Marne, telle est l’origine de la capitale du sud axonais et porte d’entrée du vignoble de Champagne: Château-Thierry (02). La place forte devint un château médiéval au pied de laquelle grandit une ville, baptisée Castrum Tierricum ou Theodoricum. Devenue possession royale à la fin du XIIIe siècle, Château-Thierry subit les ravages de la guerre de Cent Ans, dont elle vit passer Jeanne d’Arc, qui en chassa les troupes anglaises en 1429. Désirant fortifier sa frontière au Nord-Est, le roi échangea la ville contre Sedan au duc de Bouillon en 1642. Place d’échanges commerciaux, la ville prospéra. C’est dans ce contexte qu’en 1652, le fils de l’un des maîtres des eaux et des forêts hérita de la charge de son père. Il l’exerça pendant vingt ans, tout en s’adonnant à sa passion pour la poésie. Il s’appelait Jean de La Fontaine. Il reste le plus célèbre des habitants de la ville, et la commune lui a consacré un musée, installé dans sa maison natale. À l’intérieur est évoquée la vie de l’artiste. Des lettres manuscrites et des éditions originales de ses fables y sont exposées, au côté d’une collection d’objets illustrant une œuvre devenue classique dès le XVIIIe siècle. Enfin, Château-Thierry et sa région conservent de nombreuses traces de la Grande Guerre. Autant d’étapes à découvrir dans le cadre de visites guidées proposées par l’office de tourisme.

Montbrun-les-Bains, forteresse au grand air

Au sortir des gorges du Toulourenc, bâti sur les contreforts du Ventoux, Montbrun-les-Bains (26) apparaît soudain, dressant sa falaise de maisons serrées les unes contre les autres, soufflées vers le ciel comme les tuyaux d’un orgue. Chapeautées de tuiles ocre roux, les bâtisses étroites s’élèvent sur trois ou quatre niveaux et sont évasées du pied pour une meilleure assise, comme si elles devaient chercher racine au plus profond du rocher. Le château n’est plus qu’un fantôme, mais la légende dit qu’on pouvait y loger 100 maîtres, leurs valets et leurs chevaux. Aujourd’hui, on y monte à la belle saison pour y prendre le frais. La Calade du Grand Soleil, une rue pavée de pierres, dégringole à flanc de coteau et conduit à la porte Notre-Dame, l’une des quatre entrées de la vieille forteresse. Avec le beffroi, l’église fait partie des signes extérieurs de richesse de Montbrun-les-Bains. Quant aux bains, ils soignent depuis l’époque des Romais, les voies respiratoires et les rhumatismes.

Fayl-Billot, pays de la vannerie

Depuis 1670, la vannerie a pris place à Fayl-Billot (52) et ses alentours. Aujourd’hui, il reste une cinquantaine de vanniers qui s’efforcent de maintenir dans le respect des traditions ce "métier d’art". Outre la vocation utilitaire à l’origine, l’article de vannerie a pris une fonction décorative aux formes contemporaines. L’osier se mêle à d’autres matières telles que le bois, le cuir, le fer… La Maison de la Vannerie à Fayl-Billot propose une exposition sur l’évolution de la vannerie au cours des siècles, tandis que des artisans vanniers font découvrir leur savoir-faire. Une tradition haut-marnaise que l’office de tourisme du pays de la vannerie se propose de faire partager aux groupes.

Tarn Réservation Nouveau circuit groupes

À l’occasion du classement de la cité épiscopale d’Albi (81) au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco, Tarn Réservation propose aux groupes un tout nouveau programme baptisé "Albi et les bastides albigeoises", sur deux jours/une nuit. Parmi les étapes: Albi et la cité épiscopale, le Vieil-Albi, la cathédrale Sainte-Cécile, le musée Toulouse-Lautrec, Cordes-sur-Ciel (incluant une promenade en petit train touristique) avant de terminer par un circuit des bastides albigeoises. Une offre proposée sur la base de 40 personnes minimum, comprenant l’accompagnement par un guide régional et un hébergement en hôtel de catégorie trois étoiles.

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