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L’Unostra alerte : "la cinquième vague risque d'engloutir toute une profession" 

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Le retour des masques dans les lieux publics clos, des classes qui ferment et un nombre de cas journalier qui atteint des niveaux plus atteints depuis cet été. Plus aucun doute, la France connaît une cinquième vague épidémique, en témoignent aussi les annonces récentes du gouvernement.

« Cette cinquième vague, c'est un nouveau coup de massue », dépore le syndicat professionnel du transport routier de voyageurs. « Coup de massue, car avec la vaccination, l'espoir de retrouver une vie antérieure subsistait. Coup de massue, car cette nouvelle vague entraîne des craintes, mais aussi de l'exaspération dans plusieurs secteurs, dont le transport routier voyageurs Tourisme ».
La crainte pour les navettes ski
Alors que le secteur commençait à reprendre peu à peu le travail, la situation épidémique vient reposer les craintes sur la table. Si pour l'heure, on constate très peu d'annulations de réservations, les prochaines semaines laissent craindre le pire. À l'approche de la période de ski, le secteur ne peut plus se permettre de perdre à nouveau une saison hivernale.
Un dispositif d’aide inapproprié
Le syndicat poursuite : « les entreprises sont aujourd'hui désemparées, d'autant que le gouvernement a annoncé il y a plusieurs semaines que le « quoi qu'il en coûte » était terminé. Depuis le 30 septembre, les entreprises ne peuvent plus bénéficier du Fonds de solidarité, qui a été remplacé par l'aide aux coûts fixes. Ce dispositif ne convient pas à la profession. L'Unostra l'a déjà fait remarquer depuis le printemps dernier. Pour en bénéficier, il faut notamment témoigner d'une perte de chiffre d'affaires de 50% par rapport à l'année 2019. Aujourd'hui, la plupart des TPE-PME du secteur n'atteignent pas cette barre. Les entreprises ont choisi de reprendre leur activité dès que cela a été possible, et ont donc une baisse de chiffre d'affaires inférieure à 50%. Elles se retrouvent pénalisées pour avoir fait le choix de... reprendre le travail ».
Les entreprises pensaient pouvoir redémarrer leur activité sur le long terme, ou du moins se diriger vers des jours meilleurs. « Elles sont encore une fois condamnées à survivre. Une survie qui devra se faire par des aides de l'État, plus accessibles aux réalités économiques de la profession, et plus équitables. Car sans aides, de nombreuses entreprises ne seront peut-être plus là en 2022 », prédit l’Unostra.

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