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RFF en première ligne de la modernisation ferroviaire

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Lors d’une conférence de presse le 15 octobre dernier à Paris, Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, s’est vu remettre un audit sur l’état du réseau ferroviaire. Dans la foulée, il a demandé à Réseau ferré de France (RFF) de lui soumettre un plan de renouvellement et de modernisation dans six mois.

Le 15 octobre dernier,  Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, s’est vu remettre les conclusions de l’audit sur l’état du réseau ferroviaire français réalisé par l’école Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Ayant déjà réalisé une première étude dans ce domaine en 2005, l’institution avait conclu à un risque consécutif de dégradation pouvant aller jusqu’à la fermeture de la moitié des lignes. Sept ans plus tard, le nouvel  opus de l’école suisse observe un net ralentissement du vieillissement du réseau, et préconise de se concentrer sur les grandes lignes du réseau structurant. Pour cela, "nous avons besoin d’une feuille de route pluriannuelle définie par l’Etat", revendiquait Hubert du Mesnil, président de Réseau ferré de France (RFF).

Un plan d’attaque

Demandant à RFF de lui remettre un  plan de renouvellement et de modernisation dans six mois, le ministre des Transports en a également précisé les contours. Au programme : amélioration du service rendu aux usagers, notamment en matière de régularité des trains, évaluation des enjeux de capacité du réseau, renforcement de la sécurité, rapprochement avec les autorités organisatrices et mobilisation des industriels hexagonaux. "Cette nouvelle démarche réhabilite le rôle de l’Etat dans la définition de la stratégie de sa politique et place les transports du quotidien au cœur de son dispositif", estime Frédéric Cuvillier, qui en outre, a également prié RFF d’accélérer le déploiement des nouvelles technologies comme la commande centralisée ou la signalisation ERTMS. 

Une feuille de route à six mois

Côté calendrier, l’agenda se bouscule puisque le ministre entend mettre sur les rails sa commission d’évaluation du Schéma national d’infrastructures de transport (SNIT) demain. A suivre également : la réforme ferroviaire dans les semaines qui viennent. Pour la suite,  "en application de la feuille de route présentée au conseil des ministres le 3 octobre dernier, j’aurais ainsi à ma disposition, au printemps prochain, d’une part les conclusions de la commission d’évaluation des grands projets d’infrastructures, dont le montant est évalué à 245 milliards d’euros par le précédent gouvernement, et d’autre part un plan opérationnel de renouvellement et d’amélioration du réseau existant", rappelait-il.

 

Retrouvez l'article complet dans le prochain numéro de Bus & Car.

Tramway Ferroviaire

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  • La rédaction
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