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Thierry Mariani interpellé par les élus

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Lors de la séance de questions orales au Gourvernement du 2 février 2012, Thierry Mariani, ministre des Transports, a été interpellé à trois reprises sur les répercussions des nouveaux horaires de la SNCF et sur prolongement  du T8 dans le Val d’Oise. 

 

L’Ain fragilisé par le cadencement

Estimant que la mise en service de nouveaux horaires des trains depuis le 11 décembre 2011 « fragilise le département de l’Ain de façon inacceptable », Xavier Breton, député de l’Ain, a sollicité le soutien de Thierry Mariani pour rétablir un premier TGV dans le sens Bourg-en-Bresse-Paris permettant d’arriver avant 9 heures du matin. Promettant trouver avec les dirigeants de RFF et de la SNCF une solution, le Ministre a néanmoins rappelé que « cet aménagement horaire a déjà entraîné de nombreux changements, obligeant la SNCF à réorganiser ses circulations et notamment à solliciter, auprès de RFF, la modification des horaires de passage de trois TER et à déplacer, à ses frais, un train fret au départ de Genève ».

 

Le T8 dans le Val d’Oise pas à l’ordre du jour

« Le Val d’Oise est fortement handicapé par l’inadaptation, voire la saturation des infrastructures de transport collectif qui le relient au reste de l’Île-de-France » , dénonçait Claude Bodin député du Val d’Oise dans son intervention. En cause : l’insuffisance de liaisons directes offertes par les transports en commun. Evoquant la possibilité de programmer le prolongement du tramway T8 d’Épinay-sur-Seine jusqu’à Cergy-Pontoise, la réponse du Ministre n’a pas laissé planer beaucoup d’espoir. « Ce projet ne figure pas au plan de mobilisation pour les transports définit par la région, et il n’est pas repris dans le protocole du 26 janvier 2011 entre l’État et la région, qui programme les opérations prioritaires d’ici à 2020 ». Seule issue possible pour l’élu : se rapprocher du Syndicat des transports d’Île-de-France.

 

Signal d’alarme pour la ligne 
Paris-Clermont-Ferrand

Enfin, l’intervention de Louis Giscard d'Estaing, député du Puy-de-Dôme, s’apparentait à un « signal d’alarme » sur la desserte ferroviaire actuelle et future entre Paris et Clermont-Ferrand. « L'Auvergne ne doit pas subir la triple peine : ne pas être raccordée au TGV, avoir des trains en mauvais état, et qui arrivent à la gare de Bercy ! », estimait t-il. « Chassés » de la gare de Lyon depuis le 11 décembre 2011, les trains Clermont-Paris sont désormais privés de correspondances avec cinq lignes de métro, neuf lignes de bus, une connexion à tous les RER, des liaisons vers les aéroports. Seul hic : « à la gare de Bercy, la première station de métro est à trois cents mètres », soulignait le député.

 

Auteur

  • La rédaction
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