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Un pôle de vélos en libre service à Lyon-Saint-Exupéry

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L’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry mise sur le transport durable, et notamment le vélopartage, pour passer au vert.

L’an prochain, la plateforme aéroportuaire de Lyon-Saint-Exupéry devrait être certifiée de niveau 3 - l’avant dernier stade en matière de neutralité en carbone - par l’Airport Carbon Accreditation (Aca). La société des Aéroports de Lyon multiplie les mesures en matière de mobilité non-polluantes, dont l’installation d’un service de location de vélos en libre service, qui devrait être mis en place en septembre prochain.

Sur les 17 400 tonnes de CO² émis annuellement par l’ensemble des acteurs économiques (200 entreprises) et hors émissions des avions, 4 790 tonnes provenaient du trafic routier, d’après un constat établi en 2008. Depuis, les choses ont évolué.

Objectif : niveau 3


Sur le plan des déplacements, un site de covoiturage a été mis en place. Le réseau de desserte par les transports en commun a bénéficié de deux nouvelles lignes de bus, en plus de la liaison par tramway Rhônexpress.

Depuis 2012 et en partenariat avec l’Ademe, Lyon-Saint-Exupéry a également mis en place un Plan de Déplacement Inter-Entreprises (PDIE) qui réunit 21 structures, soit la moitié des effectifs de l’aéroport. Côté modes doux, 600 000 euros ont été engagés. Pour les vélos, des pistes cyclables ont été aménagées et des arceaux installés.

120 000 euros pour l’implantation des vélos en libre service

La consultation pour trouver un exploitant vient d’être lancée et doit aboutir à la rentrée prochaine. Elle consiste en l’installation d’un système de vélos en libre service, pour lequel seront déboursés 120 000 euros. "Dans un premier temps, une trentaine d’unités, réparties sur une dizaine de postes d’emprunt, seront installées", précise Lionel Lassagne, directeur du développement durable d’Aéroports de Lyon.

Ce service s’adressera aux salariés des 21 entreprises adhérentes au PDIE, qui pourrait dans le même temps s’élargir. Il est aussi prévu de créer des places spécialement dédiées au covoiturage, ou encore de développer de nouvelles voies pour les modes doux.

L’objectif est d’accentuer la baisse de l‘usage de la voiture individuelle pour les trajets domicile-travail. Il y a trois ans, il concernait 95 % d’entre eux, l’objectif étant d’atteindre le seuil de 85% en 2019.

Modes doux

Auteur

  • Jean-François Belanger
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